À la surface des océans se trouve une fine pellicule d’eau, de moins d’un millimètre d’épaisseur. Selon les chercheurs du CNRS, elle pourrait influencer la quantité de CO2 absorbée par l’atmosphère.
Il ne s’agit que d’une fine couche d’eau d’à peine un millimètre d’épaisseur et pourtant elle pourrait faire la différence. Plus froide et plus salée, à cause de l’évaporation de l’eau et de l’émission d’infrarouge en surface, cette pellicule semble influer sur les quantités de dioxyde de carbone captées par les océans. Une étude scientifique du CNRS le prouve : la “peau océanique” permet une absorption supplémentaire allant de 5 à 15%. Une nouvelle donnée à prendre en compte pour les climatologues du monde entier.